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Ce spectacle hors normes a laissé des traces importantes. Imaginé et dirigé par Raoul Lay, mis en scène par Olivier Pauls, avec Brigitte Peyré et l'Ensemble Télémaque, son atmosphère est à la fois tragique et grinçante. Le fantôme de Klaus Nomi plane à travers la folie de la musique contemporaine, notamment grâce aux quatre chansons reprises en hommage par Olga Neuwirtz. |
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Roberto De Simone a réalisé au San Carlo de Naples cette grande fresque historique, en hommage a Eleonora Di Fonseca Pimentel, figure majeure de la Révolution Parthénopéenne de 1899, incarnée ici par Vanessa Redgrave. J'y jouais plusieurs rôles, notamment celui du bourreau de la Révolution française qui veut guillotiner Pulcinella. |
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On a beaucoup parlé de cet opéra sur la pièce de Tchékov. Peter Eötvös avait une idée très précise de ce qu'il voulait raconter, en faisant chanter les trois sœurs par des contre ténors, et en confiant la mise en scène à Ushio Amagatsu. Le résultat dépasse tout attente. Le langage puissant de sa musique, la grande part d'humanité qu'elle contient, les règles de jeu extrêmement contraignantes, aux antipodes du psychologique, ont transporté les Trois sœurs dans un univers inconnu où les émotions sont réinventées. J'ai chanté ce rôle plusieurs années, depuis la création à l'Opéra de Lyon en 1998, jusqu'en 2002, au Wiener Festwochen, à la Monnaie de Bruxelles, et à Paris au Théâtre du Châtelet (générique en fin du troisième extrait). |
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Depuis quelques années, je forme avec Nicolas Mazmanian un vrai duo. Ce pianiste talentueux, inventif et toujours à l'écoute, est aussi compositeur. Ce qui explique la superbe introduction qu'il a inventée à cette chanson emblématique de Piazzolla. |
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Ce Salve Regina de Pergolesi à Saint Maximin est un moment qui m'est cher. Sarkis Paloyan, lorsqu'il dirige, entre totalement dans la musique et dans la complicité avec ses solistes. |
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Une partition arrive un jour dans ma boîte aux lettre. Dès la première lecture, cette musique fort belle me parle intimement. Christophe Mauro en est le compositeur. À ma demande il accepte d'y ajouter un texte, et fait appel à l'écrivain Medhi Belhajkacem, spécialiste de Dante. Ce texte contemporain, joué par Fosco Perinti (délicieux acteur italien) crée avec la musique une mise en abîme fort intéressante. Le théâtre Gyptis a accueilli cette création dans sa saison, avant la parution du CD en été 2012. |
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C'est à Odile Lecour, créatrice de La Maison du chant, que je dois ce projet attachant. Une rencontre avec Gino Sitson, Émilie Lesbros, Maria Simoglou et le violoncelle d'Emmanuel Cremer. Comment des univers si différents peuvent se croiser pour enfanter une musique faite d'improvisation et d'échanges de répertoire, seule Odile pouvait oser. C'était doux, amical et captivant. |
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